Eh bin.

J'ai peur d'en dire trop, de dire quelque chose de croche et que vous l'interprétiez mal.

Mais fuck que vous m'avez faites mal. Si vous saviez à quel point vos mots m'ont blessée. Tsé, c'faire presque traiter de salope par des amies, c'est quelque chose. Ça fesse pis m'a vous dire que c'est pas une sensation merveilleuse.

Anyway. J'peux rien changer à c'que vous pensez, ni à c'que j'ai fait. Parce que OUI, j'en ais fait des erreurs, mais j'peux pas revenir en arrière, fak j'ai appris à vivre avec pis à les accepter. Ça me permet de travailler sur moi-même et je regrette rien, moi.

Je crois que ça fait du bien d'écrire ça. Même si directement, ça sert à rien.

Wâwâwâ !

J'suis dans ma fin de session pis FUCK que c'est vrai ce que les gens disent, c'est fou lol.

Ok, je sais pas gérer mon temps, je suis une Reine de la Procrastination, mais oh god que j'trouve ça fou, mais je vais m'en sortir. Il ne me reste que mes travaux d'Anthropo, de Psycho, de Philo, de Vidéo plus toutes les affaires de français et de MQ.

I will survive ! (I hope en maudit en tout cas ! =P)

J'vous en reparle dans 3 semaines, pour vous dire comment j'ai trouvé ma première année de Cégep.

Criss que j't'aime ! Oui, JE T'AIME ! Pourquoi tu veux juste pas le comprendre ? Tout mon corps te le crie et j'me retiens tellement de pas t'embrasser, juste comme ça, juste spontanémment ! Toutes les parcelles de mon corps t'aime, toutes voudraient te sentir, te toucher, te voir.

J't'aime maudit ! Pourquoi j'me fais autant souffrrir, pourquoi j'essaie juste pas de t'oublier, d'arrêter de t'aimer, d'arrêter de tellement te vouloir que j'en aie mal partout.

J't'aime tout simplement, malgré tout ce que ça m'apporte comme malheur.

Je t'aime, malgré tout et jamais je ne pensais pouvoir ressentir une telle passion pour quelqu'un, ni une aussi grande tristesse.

Je t'aime. Ne l'oublie pas, car peut-être qu'un jour tu reviendras sur ta décision...

Libération !

J'ai enfin retrouver mon Internet ! =O Wow de wow de wow.

Sincèrement, ça va avoir l'air totalement accro, mais une semaine et demie sans Internet, sans relation avec les autres, c'est L O N G ! J'ai même pas pu m'aider d'Internet pour mes travaux en politique et en philo, j'ai du tout sortir de ma petite tête.

Je suis contente de reprendre contact avec mes amis sur Msn et de pouvoir aller sur Facebook. De pouvoir lire les blogs des gens que j'aime et simplement passer le temps ici.

Je suis de retour, avec tout pleins de péripéties que j'ai pas vraiment l'envie d'écrire tout de suite. Je vais attendre de pouvoir clarifier les choses avant, mais disons que j'ai eu une fin de semaine de Pâques assez WOW et triste en même temps.

Coup de coeur

Oui, un coup de coeur au film d'animation Monsters VS Aliens ! J'arrête pas d'en parler, mais je l'ai réellement aimé !

C'est vraiment réaliste, l'histoire est bonne, les fous rires sont garantis et même si t'es une jeune adulte, c'est bon quand même ! =)

Je regrette pas du tout d'avoir fait 45 minutes dans une température de M A R D E et que le film que j'étais suposé aller voir originellement soit pleins. Ça a valu la peine.

J'crois que c'est mon film préféré depuis Madagascar ! <3

Mots au hasard

La preuve que je n'ai rien à faire dans mes cours. Pour passer le temps, j'ai demandé à deux amies de m'écrire des mots au hasard et mon but était de les incorporer dans un texte. Ça a donné le suivant (Je suis toujorus à la recherche d'un titre):

Assise sur le sol de cette cabane rustique, loin de toutes civilisations, j'ouvre les cicatrices de mon âme avec cette craie. Théâtralement, je t'écris mon amour, mon trésor, je t'écris pour faire fondre le givre qui recouvre mon âme depuis ce mois d'Avril 2008. Telle une guerre de politiciens, mon coeur et ma raison se lancent missiles et roquettes. Une nuée de lucioles tournent dans ma tête, faibles face au luminaire que tu incarnais pour moi quotidiennement. Je crois qu'aujourd'hui, je peux enlever le barbelé qui entoure mon coeur et pouvoir pleinement déguster la cohorte de belles choses qui m'attendent.

La mouette;

Comme une mouette survolant la mer, je te survoles, je t'observe. J'ai envie de plonger dans les vagues de tes pensées, de me noyer à force de trop te regarder. Tu n'es peut-être pas comme ces plages des Caraïbes, non, car toi tu es plus sombre et beaucoup plus profond, comme une mer de l'autre bout du monde. C'est peut-e^tre ce qui m'attire chez toi, comme une mouette un peu trop curieuse de voir la mer. J'ai peur de me perdre dans cet océan de sensations et de ne plus pouvoir revenir sur la terre ferme. Je continue donc de voler autour de toi, t'observant et t'admirant.

***
J'ai composé ça dans mon cours d'Anthropologie, je n'avais rien à faire et je voulais passer le temps. Ça a donné ça et je l'aime bien, même si c'est pas parfait et qu'on étudiera jamais ça dans un futur cours de français !